Longtemps, à la jardinerie, nous avons vendu des plants que nous achetions à des producteurs, et puis il nous est apparu de manière évidente que cela entrait en contradiction avec les valeurs que nous défendions.
Dans ses valeurs il y a bien évidemment celle, centrale, de donner du travail à nos employés de l’ETA, mais il y aussi notre souci de nous inscrire dans la démarche des circuits courts et de l’économie circulaire. Voilà pourquoi aujourd’hui nous semons, bouturons, marcottons, divisons de plus en plus de plantes au sein de nos ateliers de multiplication.
Nous privilégions les plantes indigènes et comestibles, nous sommes attentifs à la diversité, à la rusticité.
Ces plantes, nous nous en occupons jusqu’à ce que nous puissions les mettre en vente à la jardinerie ou en terre dans nos propres potagers.